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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 11:00

Le Sud-Coréen Hoesung Lee, économiste, prend la tête du "groupe d'experts" sur le climat

 

Ismael Abdel Rahim El Gizouli passe la main. Cet inconnu du grand public était, depuis le 24 février dernier, le président par intérim du Groupe d’experts international sur l’évolution du climat (GIEC), suite à la démission forcée [1] du fantasque Rajendra K. Pachauri, ingénieur des chemins de fer et docteur en économie, un peu trop trousseur de jupons pour ne pas se faire rattraper par la justice de son pays. C’est désormais le Sud-Coréen Hoesung Lee qui incarnera les meilleurs climatologues du monde, comme la presse aime à nous présenter le GIEC. Elle ne manquera probablement pas de nous dire qu’il est l’un d’entre eux.

 

Le GIEC est une grosse machine. Les élections s’étant récemment déroulées à Dubrovnik (Croatie), lors de sa 42e assemblée, ont conduit au renouvellement ou à la promotion des nombreux membres de son bureau. Voici l’ancienne composition, celle présidée par l’Indien Rajendra Pachauri :

 

 

Il y a donc à sa tête un président. Ainsi que trois vice-présidents. Il est par ailleurs constitué de trois groupes de travail : le groupe I, qui « étudie les principes physiques et écologiques du changement climatique », est constitué de deux coprésidents et six vice-présidents (désormais sept) ; le groupe II, qui « étudie les impacts, la vulnérabilité et l’adaptation au changement climatique », compte lui aussi deux coprésidents et six vice-présidents (désormais huit) ; le groupe III, qui « étudie les moyens d’atténuer le changement climatique », a deux coprésidents et six vice-présidents (désormais sept). Enfin, l’« Équipe spéciale », chargée des inventaires nationaux de gaz à effet de serre, compte deux coprésidents. Aux représentants du bureau, il faut ajouter 12 membres faisant partie de l’Équipe spéciale, ainsi que des centaines d’auteurs chargés de la rédaction des rapports d’évaluation, parmi lesquels on trouve aussi des scientifiques travaillant de près ou de loin sur le climat. On remarquera que Jean Jouzel, que la presse comme Wikipédia présentaient comme vice-président du GIEC, sans que jamais il n’ait rectifié, ne l’était que pour le groupe I.

Il n’y a qu’à voir les nationalités variées des membres du bureau pour comprendre que sa composition est avant tout politique. L’élection est le fruit des décisions gouvernementales. La nouvelle présidence du GIEC est donc le résultat d’une négociation politique, dont les tenants et les aboutissants ne sont pas divulgués, le vote étant tenu secret.

 

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